mardi 18 décembre 2007

Le mot du Directeur de l'Astrorama


Bonjour à tous,

Comme promis lors de mon dernier commentaire concernant le chapitre sur la rénovation du planétarium, voici, comme je le ferai le plus régulièrement possible, le mot du Directeur vous informant des dernières nouvelles en vrac de l'Astrorama.
  • Tout d'abord, notre mascotte Choucroute (la chienne) nous est revenue en pleine forme. Elle reprend peu à peu ses habitudes. Une niche lui a été installée sur le côté de l'Astrorama derrière le container.
  • Les nouveaux rideaux ont été installée hier par Colette et Olivier. Ca a demandé près de deux heures de travail !
  • Florent quand à lui a remis un peu d'ordre au niveau de l'éclairage et des ampoules grillées ou usagées.
  • Nous attendons l'exposition sur la planète Mars que nous installerons au moins pour la soirée Spectacle du 22 décembre et je le souhaite quelques temps après.
  • Nous avons reçu il y a quelques jours de futurs animateurs vacataires pour l'Astrorama (en tous cas suceptibles de le devenir). C'est comme d'habitude serge Tricoire qui nous les a recrutés. Ils sont en tout 13 élèves de 1ère S scientifique à Nice. Nous les avons informés de ce que nous faisions à l'Astrorama avec quelques animations types en démonstration présentées par Estelle, Djamel et moi-même. Certains d'entre-eux (5) ont même passé dimanche 9 décembre leur stage 1ère étoile (tous les animateurs ou futurs animateurs de Parsec-Astrorama devront posséder au moins deux étoiles pour remplir leur fonction).
  • Au sujet des stages étoiles, j'ai eu ce week-end une réunion à l'AFA à Paris réunissant les structures organisant les stages étoiles (en tout 22 structures). En tout, 574 stagiaires ont participés en France à ces stages (depuis début 2006) et sachez que l'Astrorama remporte et de loin le maximum de stagiaires (107 stagiaires à nous tout seul ! soit près de 20%). Nous sommes aussi une des seules structure à organiser la troisième étoile (merci Manu).
  • Voilà pour aujourd'hui. La suite au prochain numéro.
Vincent Coutellier

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